Le gouvernement néo-zélandais a présenté aujourd’hui son plan pour racheter certaines des armes en circulation dans le pays. À la suite de l’attentat commis le 15 mars par un suprémaciste blanc à Christchurch, causant la mort de 51 personnes, la Première ministre, Jacinda Ardern, avait interdit la vente des armes semi-automatiques et des fusils d’assaut. Le Parlement avait adopté en avril un texte prohibant leur possession. Le ministre de la Police, Stuart Nash, a précisé ce matin qu’un budget de 208 millions de dollars néo-zélandais (121 millions d’euros) serait alloué pour collecter les armes d’ici au 20 décembre et dédommager leurs propriétaires. Ces derniers recevront de 25 % à 95 % du prix d’achat de l’arme, selon son état. Selon la police, 1,2 million de fusils, dont les caractéristiques sont autorisées, resteront en circulation.
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