Les services d’immigration américains (UCSIS) recommandent l’utilisation d’outils de traduction automatique tels que Google Traduction pour analyser les publications de candidats à l’immigration sur les réseaux sociaux, a dévoilé jeudi le site américain ProPublica, après avoir eu accès à un manuel interne des UCSIS et l’avoir rendu public. L’entreprise américaine Google avertit pourtant dans une clause de non-responsabilité en ligne sur son site qu’elle ne garantit pas « l’exactitude, la fiabilité, la justesse » des traductions fournies et affirme qu’« aucune traduction automatique n’est parfaite ni ne vise à remplacer le travail des traducteurs humains ». Dans un règlement, les UCSIS précisent que toute « information collectée via les réseaux sociaux ne peut constituer en elle-même la base du refus de l’admission » d’un réfugié. En 2018, les UCSIS ont mené 11 740 analyses de réseaux sociaux, selon un rapport publié en mai par ces services.
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