Le groupe de distribution britannique Tesco a annoncé hier avoir suspendu sa collaboration avec un fournisseur chinois, après qu’une jeune fille a découvert sur l’une de ses cartes de Noël le message d’un prisonnier expliquant être forcé de travailler pour ce fournisseur. Toutes les cartes fabriquées par cette entreprise, dont les bénéfices sont reversés à des organismes de recherche sur le cancer ou le diabète, ont également été retirées de la vente. Tesco a déclaré avoir lancé une enquête. Le groupe de distribution a affirmé qu’un contrôle indépendant le mois dernier n’avait pas mis en cause ce fournisseur. La Chine a officiellement aboli en 2013 la possibilité de condamner un prisonnier à du travail forcé, mais l’ONG de défense des droits humains Amnesty International a rapporté plusieurs fois que ce système demeurait en place.
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