Les protections périodiques internes (tampons, coupes menstruelles, etc.) peuvent, dans de rares cas, provoquer un syndrome de choc toxique menstruel – due à des toxines produites par des bactéries –, dont les conséquences peuvent aller de simples maux de tête à l’amputation d’un membre, voire au décès. Pour éviter ce risque, mieux vaut ne pas garder ses protections internes trop longtemps explique l’agence nationale de sécurité sanitaire Anses, dans un avis publié lundi. Un précédent rapport de l’Anses, publié en décembre, recommandait aussi d’utiliser la nuit des protections externes (serviettes hygiéniques, culottes menstruelles), plutôt que des protections internes, toujours pour diminuer les risques de développer un choc toxique menstruel.
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