L’agence nationale de sécurité sanitaire Anses, un établissement public, a publié hier un rapport préliminaire sur le déploiement de la 5G, prévu d’ici la fin de l’année en France. Elle signale « le manque de données scientifiques sur les effets biologiques et sanitaires potentiels » liés à l’exposition aux fréquences autour de 3,5 gigahertz de cette nouvelle technologie de communication, qui facilitera l’usage des objets interconnectés. L’Anses demande aux industriels de communiquer le maximum d’informations techniques pour évaluer l’impact sanitaire de la 5G. Vendredi, deux associations de défense de l’environnement et de la santé, Agir pour l’environnement et Priartem, ont lancé une pétition demandant au gouvernement un moratoire sur l’attribution des fréquences de la 5G, autorisée par un arrêté fin décembre. Elles s’inquiètent que celui-ci n’ait pas été précédé d’une « évaluation environnementale et sanitaire ».
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