Après une journée harassante de travail, il est souvent difficile de se mettre aux fourneaux. Cuisiner a pourtant des vertus aussi apaisantes qu’une séance de méditation, explique un article de Slate.fr. Professeure de psychiatrie et de sciences comportementales à l’université américaine Northwestern, Jacqueline Gollan affirme que « la cuisine implique les sens – on sent, on goûte – et requiert de l’attention et de la concentration », puisqu’il s’agit de suivre les étapes d’une recette. La cuisine peut ainsi devenir « une distraction pour quelqu’un qui a tendance à ruminer » et « offrir un soulagement pour l’esprit ». En outre, cuisiner peut donner lieu à un sentiment d’accomplissement, une fois le plat prêt. Pour méditer, pensez donc aussi à sortir parfois les casseroles plutôt qu’un tapis de yoga.
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