Elle est lituanienne, japonaise ou encore sénégalaise. Elle est dirigeante d’entreprise, personnalité politique ou pilote d’avion de chasse. Elle est cette « femme » que les articles citent dans leur titre, pour dire qu’elle est nommée ici, élue là, première à faire ceci, lauréate de tel prix, mais dont le nom est relégué dans le sous-titre, voire plus loin encore dans le texte. « Une femme » a désormais sa propre page Wikipédia, un compte parodique dénonçant cette « formule générale qui essentialise, invisibilise les femmes », comme le dénonce Marine Périn, porte-parole de l’association de femmes journalistes Prenons la Une, dans un article du Monde.
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