Qu’est-ce qui pousse une femme à accepter de porter l’enfant d’une autre personne ? Caroline Ernesty, reporter pour Slate.fr, a rencontré plusieurs mères porteuses aux États-Unis, où la pratique de la gestation pour autrui (GPA) est légale dans la plupart des États et même rémunérée dans certains. C’est le cas en Californie, où une mère porteuse perçoit environ 30 000 euros. L’argent n’est cependant pas la motivation première des femmes interrogées, qui mettent en avant le bonheur et la fierté d’offrir un enfant à un couple dans l’incapacité d’en avoir. Plus que d’aimer être enceintes, ces mères porteuses ont en commun leur implication dans différentes œuvres caritatives.
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