En Espagne, la prostitution n’est pas légalisée, mais tolérée. Avec la crise du Covid-19, le quotidien des travailleuses du sexe a été chamboulé et elles doivent désormais composer avec les règles sanitaires. Trois d’entre elles se sont confiées au magazine Vice pour raconter comment le coronavirus a changé leur façon de travailler. « Vous ne pouvez pas obliger tous les clients à se faire prendre la température à l’entrée, ils ne reviendraient pas », relate Cristina, qui travaille dans une « coopérative sexuelle ». Elle accepte désormais de se rendre au domicile de ses clients, aux dépens de sa sécurité.
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