Selon un rapport de l’Agence européenne pour l’environnement, une agence de l’UE, le nombre annuel de décès prématurés attribuables aux particules fines a reculé de 13,3 % entre 2009 et 2018 grâce à une « nette amélioration » de la qualité de l’air. 379 000 personnes sont tout de même mortes prématurément en 2018 dans l’UE à cause de cette pollution, estime l’agence. Les particules fines ont une taille inférieure à 2,5 micromètres (microns) [PDF], explique dans une note de présentation Airparif, l’organisme public chargé de surveiller la qualité de l’air en Île-de-France. Elles peuvent ainsi « se loger dans les ramifications les plus profondes des voies respiratoires ». Les plus fines peuvent se diffuser dans le sang. Émises lors de processus de combustion et produites par des réactions chimiques, elles proviennent du trafic routier (combustion de matières fossiles, mais aussi usure des routes, des pneus et des freins), du chauffage et de certains procédés industriels. Les principaux risques liés à ces particules concernent les maladies cardiovasculaires, respiratoires et les cancers pulmonaires.
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