Emmanuel Macron a présidé aujourd’hui une réunion avec le Commandement de l’espace, une branche de l’Armée de l’air et de l’espace, à l’issue du premier exercice militaire spatial français, au Centre spatial de Toulouse. Baptisé AsterX, cet entraînement a permis pendant une semaine de tester les capacités de l’armée à protéger les satellites français « en cas d’attaque, d’entrée dans l’atmosphère de débris dangereuse ou encore lors de la détection d’un satellite espion », a expliqué le Centre national d’études spatiales, l’agence spatiale française, qui a collaboré à l’exercice, tout comme plusieurs pays alliés, dont l’Allemagne et les États-Unis. Le scénario de cette simulation de crise spatiale internationale par ordinateur consistait à déjouer l’attaque d’un satellite par un satellite ennemi. « Il faut avoir des moyens d’action si jamais on voit qu’il y a des dangers qui pèsent sur nos capacités ou celles de nos alliés », a expliqué aujourd’hui l’Élysée à l’AFP.
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