Des combats sans gants ni règles, sur des rings improvisés dans des zones industrielles ou dans la forêt, StreetPress s’est plongé dans l’univers des « fight clubs » fréquentés ou organisés par des militants d’extrême droite radicaux. En Suède, en Allemagne, en Italie ou en France, la violence des combats clandestins attire néonazis et suprémacistes blancs. Un rassemblement en Allemagne a attiré 800 participants avec le parrainage d’une marque de vêtements créée par un néonazi russe.
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