Santé publique France, un organisme public dépendant du ministère de la Santé, a publié aujourd’hui les résultats d’une étude sur les conséquences de la pollution de l’air sur la santé des Français : l’agence sanitaire estime que 40 000 décès sont attribuables chaque année à une exposition des personnes âgées de plus de 30 ans aux particules fines, classées cancérigènes par le Centre international de recherche sur le cancer, une agence intergouvernementale créée par l’Organisation mondiale de la santé. Le premier confinement, entre mars et juin 2020, a réduit l’activité et la circulation de la population, ce qui a permis d’éviter 2 300 décès liés aux particules fines, selon Santé publique France. L’agence sanitaire estime que 1 200 décès supplémentaires ont pu être évités grâce à la diminution de l’exposition des personnes au dioxyde d’azote, un gaz toxique principalement produit par le trafic routier.
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