On rembobine

Stade de France

Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, a reconnu aujourd’hui devant deux commissions du Sénat « un échec » dans la gestion des incidents autour du Stade de France, à Saint-Denis, le 28 mai. Il a dit assumer l’usage de gaz lacrymogène pour faire reculer la foule. Un responsable de la Fédération française de football, lui aussi auditionné, a déclaré que les images de vidéosurveillance du stade avaient été « automatiquement détruites » au bout de sept jours, faute de réquisition par la justice.

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