Tout s’explique

Les États-Unis classent l’épidémie de variole du singe comme « urgence de santé publique »

  • Qu’ont décidé les États-Unis ?

    Le secrétaire américain à la Santé, Xavier Becerra, a classé hier soir l’épidémie de variole du singe comme « urgence de santé publique ». Plus de 7 100 cas de cette maladie virale étaient recensés hier aux États-Unis par l’agence fédérale américaine de contrôle et de prévention des maladies. Le statut d’urgence de santé publique permet notamment de débloquer des fonds supplémentaires pour répondre à une situation sanitaire. La variole du singe « se transmet à l’être humain par un contact étroit avec une personne ou un animal infecté, ou avec des matériaux contaminés par le virus », selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), une agence de l’ONU. « On ne sait pas actuellement » si elle est sexuellement transmissible, a déclaré l’OMS en juillet. L’agence a classé l’épidémie en cours, qui a débuté en mai en Europe, comme « urgence de santé publique de portée internationale ». C’est le plus haut niveau d’alerte de l’OMS.

Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !

Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.

J’ai déjà un compte