C’est leur avis

La menace au régime de Vladimir Poutine est venue de l’intérieur

Le président russe, Vladimir Poutine, a affirmé hier soir qu’il était parvenu à éviter « une grande effusion de sang » en mettant fin à la rébellion du groupe Wagner, lancée vendredi par le chef de cette milice privée, Evgueni Prigojine, puis avortée le lendemain. Dans une tribune [€] publiée aujourd’hui dans le New York Times, le chercheur Andrei Kolesnikov juge que cet événement a considérablement fragilisé Vladimir Poutine.

Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !

Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.

J’ai déjà un compte