Aujourd’hui, on vous rembobine la journée, on vous explique les points de crispation des négociations sur le Brexit, on explore les propositions de Marine Le Pen et d’Emmanuel Macron sur la protection sociale et on vous dit à combien se vendent les appartements et les maisons près de chez vous.
Débat Le Pen-Macron. Marine Le Pen et Emmanuel Macron s’affronteront ce soir à partir de 21h lors du débat de l’entre-deux-tours de l’élection présidentielle, retransmis entre autres sur TF1 et France 2. Le débat, qui doit durer 2h20, sera animé par Christophe Jakubyszyn et Nathalie Saint-Cricq et s’articulera autour de 12 thèmes, dont la lutte contre le chômage, la sécurité, le pouvoir d’achat et l’Europe.
Mise en garde de Baroin. Le parti Les Républicains a confié hier soir au sénateur-maire de Troyes François Baroin la conduite de la campagne du parti pour les élections législatives. L’ancien ministre de l’Économie (2011-2012) a averti ce matin les élus LR qui « se rapprochent du Front national » et ceux qui « se rapprochent de Macron » qu’ils seraient exclus du parti.
Attentat de l’EI à Kaboul. Un attentat contre un convoi blindé de l’Otan a tué au moins huit civils et fait au moins 28 blessés (dont trois militaires étrangers), à Kaboul, la capitale de l’Afghanistan. Le groupe État islamique, présent dans le pays depuis deux ans, a revendiqué l’attaque.
Trump, Poutine et la Syrie. Le président des États-Unis Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine ont eu un entretien téléphonique hier soir, pour la première fois depuis la frappe américaine contre une base militaire syrienne le 6 avril. Ils sont « convenus que les souffrances en Syrie duraient depuis beaucoup trop longtemps et que toutes les parties devaient faire tout ce qu’elles peuvent pour mettre fin à la violence », selon un communiqué de la Maison-Blanche.
Contrôles aux frontières. La Commission européenne a autorisé hier l’Allemagne, l’Autriche, le Danemark, la Norvège et la Suède à prolonger de six mois leurs contrôles aux frontières, mais a affirmé que ce serait « la dernière prolongation ». L’organe exécutif de l’Union européenne avait autorisé à partir de 2015 les pays confrontés à un afflux massif de migrants à rétablir temporairement des contrôles aux frontières internes de l’espace Schengen.
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