Aujourd’hui, on vous rembobine la journée, on fait le point sur la campagne des législatives et sur la loi de moralisation de la vie politique, on vous étonne avec le congé sabbatique du patron d’Uber et on se félicite de téléphoner pour moins cher depuis les autres pays européens.
Incendie dans une tour à Londres. 200 pompiers ont lutté aujourd’hui contre un incendie déclenché dans la nuit qui a ravagé une tour de logements sociaux de 24 étages dans l’ouest de Londres et dont les causes ne sont pas connues. Un bilan provisoire fait état de 12 morts et plus de 70 blessés.
Un parlementaire américain blessé dans une fusillade. Un homme a ouvert le feu sur des membres républicains du Congrès qui s’entraînaient sur un terrain de baseball à Alexandria, près de Washington en Virginie, faisant cinq blessés dont un élu de Louisiane, numéro trois de la Chambre des représentants. La police a précisé que le tireur avait été arrêté.
Élection du nouveau Premier ministre irlandais. Leo Varadkar a été élu Premier ministre d’Irlande par les députés et a promis « un gouvernement ni de droite ni de gauche ». Après avoir été désigné vendredi à la tête du parti de centre droit Fine Gael, ce médecin de 38 ans, fils d’un immigré indien, devient le plus jeune Premier ministre de la République d’Irlande et le premier ouvertement homosexuel.
Tsipras cherche à convaincre l’Eurogroupe. Dans une tribune publiée par plusieurs journaux européens dont Le Monde, le Premier ministre grec Alexis Tsipras estime que son pays a mené ces deux dernières années « plus de réformes que l’ensemble des pays européens réunis » et réclame un « réaménagement de la dette » afin que « l’économie grecque puisse respirer ». L’Eurogroupe (réunion des ministres des Finances de la zone euro) doit se prononcer demain sur le déblocage d’une nouvelle tranche d’aide à la Grèce.
Alerte sur la situation des migrants à Calais. Le Défenseur des droits Jacques Toubon a déploré « les conditions de vie inhumaines » et la « sorte de traque » dans lesquelles vivent les migrants depuis plusieurs mois à Calais et demande aux pouvoirs publics de ne pas s’obstiner dans ce qui s’apparente à un « déni d’existence des exilés ». « La volonté de ne plus voir de migrants à Calais conduit à ce que plus aucun abri ne soit toléré », estime-t-il.
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