Aujourd’hui, on vous rembobine la journée, on fait le point sur les désaccords autour du nucléaire iranien et on vous étonne avec la première base militaire chinoise à l’étranger.
Projet de loi de moralisation adopté. Le Parlement a définitivement adopté le projet de loi pour la confiance dans l’action publique, plus connu sous le nom de « loi de moralisation », par 383 voix pour, 3 contre et 48 abstentions. Le texte interdit notamment aux parlementaires d’embaucher des membres de leur famille et les oblige à présenter des justificatifs pour se faire rembourser leurs frais de mandat.
Une nouvelle déontologue pour l’Assemblée nationale. Le Bureau de l’Assemblée nationale a nommé hier soir la docteure en droit public Agnès Roblot-Troizier déontologue de l’institution, un rôle indépendant créé en 2011 qui consiste à alerter les députés sur de possibles conflits d’intérêts. La nouvelle loi sur la confiance dans l’action publique lui donnera un pouvoir de contrôle sur les fonds alloués aux députés.
Un journaliste français mis en examen en Turquie. Le journaliste français Loup Bureau, âgé de 27 ans, interpellé la semaine dernière à la frontière entre la Turquie et l’Irak, a été mis en examen mardi par la justice turque pour « participation à un groupe terroriste », a révélé aujourd’hui Le Monde. Il lui est reproché d’être entré en contact il y a trois ans avec des combattants kurdes des YPG à propos desquels il avait réalisé un reportage diffusé par TV5 Monde.
Cessez-le-feu dans la province de Homs. Le ministère russe de la Défense a annoncé l’entrée en vigueur ce midi d’un cessez-le-feu dans la province syrienne de Homs. Le territoire concerné, où vivent 147 000 personnes, est la troisième zone de « désescalade » délimitée par un accord visant à rétablir la paix dans le pays signé fin juillet au Caire (Égypte) entre la Russie et des représentants de la rébellion syrienne.
Le président brésilien évite la Cour suprême. Le président brésilien Michel Temer a échappé hier à un renvoi devant la Cour suprême de son pays pour corruption passive, obstruction à la justice et participation à une organisation criminelle. Le Parlement a voté contre cette procédure par 263 voix contre 227.
Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !
Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.