Dans Brief.me aujourd’hui, la fuite de l’ancienne Première ministre thaïlandaise, une livraison de gaz naturel par l’Arctique sans brise-glace et le test du canoë.
Macron critique la position polonaise sur les travailleurs détachés. Emmanuel Macron a déclaré que la Pologne, dont la Première ministre Beata Szydlo a affirmé hier son refus d’une réforme de la directive sur les travailleurs détachés, commettait « une nouvelle erreur » et qu’elle se mettait « en marge » de l’Union européenne. « Peut-être ses propos arrogants sont-ils dus à son manque d’expérience », a répondu Beata Szydlo dans un communiqué.
L’ex-patron des « Stups » mis en examen. François Thierry, ancien patron de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants, a été mis en examen pour complicité de trafic de drogue. Les juges d’instruction le soupçonnent de ne pas avoir suffisamment informé les autorités judiciaires d’une importante livraison de drogue que son service avait laissée se dérouler dans le but de démanteler un réseau de trafiquants.
L’héritier de Samsung condamné à cinq ans de prison. La justice sud-coréenne a condamné Lee Jae-Yong, vice-président de Samsung Electronics et héritier du conglomérat Samsung, à cinq ans de prison pour corruption. Il était jugé pour avoir versé ou promis plusieurs dizaines de millions d’euros à une conseillère officieuse de l’ancienne présidente sud-coréenne Park Geun-hye en échange de décisions politiques favorables à son groupe.
Affrontements en Birmanie. Le gouvernement birman a annoncé qu’une centaine d’hommes armés issus de la minorité musulmane rohingya, victime de persécutions en Birmanie, avaient attaqué une vingtaine de postes de police dans l’ouest du pays. Au moins 71 personnes sont mortes, selon les autorités : 12 membres des forces de l’ordre et 59 Rohingyas.
Nouvelle purge dans la fonction publique en Turquie. Les autorités turques ont limogé 928 fonctionnaires supplémentaires, dont des militaires et des universitaires, en représailles pour le coup d’État manqué du 15 juillet 2016, selon un décret-loi paru au Journal officiel. En 13 mois, plus de 140 000 personnes ont été écartées de la fonction publique au cours de purges successives menées à la demande du président turc Recep Tayyip Erdogan.
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