Dans Brief.me aujourd’hui, le passage de l’ouragan Maria dans les Antilles, l’annulation de nombreux vols chez Ryanair et la suppression des réunions.
Affaire des pilules contraceptives. L’AFP a révélé que le parquet de Paris avait classé sans suite en juin l’enquête ouverte en janvier 2013 après plusieurs plaintes contre des fabricants de pilules contraceptives de troisième et quatrième générations et l’Agence nationale du médicament. L’avocat des plaignantes, qui s’estiment victimes des effets secondaires des traitements, a annoncé qu’il allait déposer plainte avec constitution de partie civile pour qu’un juge d’instruction poursuive l’enquête.
Recul de la pollution atmosphérique. Le Laboratoire central de surveillance de la qualité de l’air, chargé par le gouvernement de coordonner la surveillance de la qualité de l’air en France, a publié un rapport dans lequel il note une « amélioration progressive » de la situation due, selon lui, aux plans d’action mis en œuvre ces dernières années pour réduire les émissions polluantes. L’organisme affirme que « les tendances à la baisse des niveaux de particules et des pics d’ozone se confirment, voire s’accentuent ».
Monseigneur Barbarin sera jugé. Le tribunal correctionnel de Lyon a décidé que le cardinal Philippe Barbarin serait jugé du 4 au 6 avril 2018 pour non-dénonciation d’agressions sexuelles sur mineurs de la part d’un prêtre, le père Preynat. L’affaire avait été classée sans suite en août 2016, mais les plaignants avaient pu la faire rouvrir.
Aung San Suu Kyi et les Rohingyas. La prix Nobel de la paix 1991 et présidente du parti au pouvoir en Birmanie, Aung San Suu Kyi, s’est déclarée dans un discours retransmis à la télévision de son pays, « prête » à organiser le retour des près de 410 000 membres de la minorité musulmane rohingya qui ont fui au Bangladesh voisin depuis fin août. Elle a promis que toute violation des droits de l’homme serait punie « quelles que soient les origines ou la position de pouvoir » de leurs auteurs, mais s’est refusée à cibler des responsables dans les massacres qualifiés la semaine dernière de « nettoyage ethnique » par le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’homme.
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