Dans Brief.me aujourd’hui, les négociations pour former une coalition en Allemagne, des taxis conduits uniquement par des femmes et une liste d’expériences.
Puigdemont désigné. Le président du Parlement catalan, Roger Torrent, a annoncé qu’il allait proposer aux députés de voter pour investir comme président de la Catalogne l’ancien dirigeant de la région Carles Puigdemont. Celui-ci s’est réfugié à Bruxelles fin octobre pour échapper aux poursuites judiciaires en Espagne. Le parquet général espagnol a demandé aujourd’hui la réactivation d’un mandat d’arrêt européen à son encontre, mais le juge chargé de l’enquête sur les dirigeants séparatistes catalans s’y est opposé.
Offensive turque en Syrie. Le ministère de l’Intérieur turc a annoncé l’arrestation de 24 personnes soupçonnées d’avoir fait de la « propagande terroriste » contre l’opération militaire lancée samedi par le pays contre les YPG, une milice kurde du nord de la Syrie que les États-Unis ont soutenue dans la lutte contre le groupe État islamique. Le département d’État américain (équivalent du ministère des Affaires étrangères) a appelé hier la Turquie à « faire preuve de retenue ».
Attentat en Afghanistan. Les talibans ont revendiqué hier une attaque menée par un commando armé qui a fait 18 morts, dont 14 étrangers, dans la nuit de samedi à dimanche à l’hôtel Intercontinental de Kaboul, en Afghanistan. Cet établissement avait déjà été ciblé par un attentat mené par les talibans qui avait tué 21 personnes en 2011.
Mouvement des surveillants de prison. Les surveillants de prison ont bloqué une centaine d’établissements ce matin, une semaine après le lancement d’un mouvement visant à obtenir de meilleures conditions de travail. Vendredi soir, deux de leurs trois principales organisations syndicales étaient parvenues à la conclusion d’un projet d’accord avec le ministère de la Justice, mais elles ont annoncé samedi qu’elles le rejetaient après consultation de leurs adhérents.
Exposition universelle 2025. Le Premier ministre, Édouard Philippe, a pris samedi la décision de retirer la candidature de la France à l’organisation de l’Exposition universelle de 2025, a révélé hier le JDD sur la base d’un courrier envoyé par Matignon au délégué interministériel chargé de la candidature. Le chef du gouvernement y justifie son choix par la volonté de ne pas prendre « d’engagements supplémentaires non maîtrisés » dans un contexte de « redressement de nos finances publiques ».
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