Dans Brief.me aujourd’hui, l’audition du patron de Facebook par des membres du Congrès américain, une comparaison du nombre de parlementaires par habitant dans l’UE et une application pour contrôler les composants des cosmétiques.
Blocage des universités. Le président de l’université Panthéon-Sorbonne (Paris-I), Georges Haddad, a déclaré ce matin avoir « demandé au préfet de police son concours pour rétablir le fonctionnement habituel » du site de Tolbiac, dans le XIIIe arrondissement de Paris, bloqué depuis le 26 mars par des opposants au projet gouvernemental de réforme de l’université. Le préfet de police a affirmé ne pas avoir « donné suite » à la demande d’intervention. Lundi, des CRS ont évacué des locaux occupés par des manifestants à l’université de Nanterre.
Valérie Rabault à la tête des députés PS. Les députés du groupe Nouvelle Gauche, qui rassemble les 31 élus socialistes et apparentés de l’Assemblée nationale, ont élu à leur tête la députée du Tarn-et-Garonne Valérie Rabault, en remplacement d’Olivier Faure, qui a pris samedi ses fonctions de premier secrétaire du Parti socialiste. Elle devient la première femme élue à la présidence d’un groupe parlementaire socialiste en France et la seule femme à la tête d’un groupe dans l’Assemblée nationale actuelle.
Frappes sur la Syrie. « Tiens-toi prête, Russie », a déclaré ce matin sur Twitter le président américain, Donald Trump, en annonçant que son pays enverrait des missiles contre le régime syrien de Bachar el-Assad. La Russie, alliée de Damas, a opposé hier soir son veto à un projet de résolution déposé par les États-Unis devant le Conseil de sécurité de l’ONU pour réclamer un mécanisme d’enquête sur l’utilisation d’armes chimiques en Syrie. Un projet russe demandant une enquête a ensuite été rejeté par le Conseil de sécurité.
Militaires condamnés en Birmanie. L’armée birmane a annoncé hier soir que sept soldats avaient été condamnés à 10 ans de prison pour le meurtre de Rohingyas. C’est la première condamnation de militaires depuis le début d’une campagne de répression qui a conduit 700 000 membres de cette minorité ethnique musulmane à l’exil depuis fin août 2017. La justice birmane a décidé aujourd’hui de maintenir en détention deux journalistes locaux de l’agence de presse Reuters qui ont été arrêtés en décembre alors qu’ils enquêtaient sur les massacres commis par l’armée.
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