Dans Brief.me aujourd’hui, le projet de réforme de la justice, le retour d’un cinéma en Arabie saoudite et des suggestions de lieux de vacances.
Université évacuée. Les forces de l’ordre ont évacué tôt ce matin la centaine de personnes qui occupaient la faculté de Tolbiac, dans le XIIIe arrondissement de Paris, bloquée depuis le 26 mars par des étudiants opposés à la réforme de l’accès à l’université. La préfecture de police de Paris a déclaré que l’opération s’était déroulée sans incident tandis qu’Annliese Nef, maître de conférences dans cette université et opposée à la réforme, a affirmé sur BFMTV que l’intervention avait été « un peu plus violente qu’elle n’est décrite » et qu’un étudiant souffrait d’un traumatisme crânien.
Radars embarqués. Le délégué interministériel à la sécurité routière, Emmanuel Barbe, a présenté à Évreux (Eure) les voitures qui serviront à partir de lundi à dresser des contraventions pour excès de vitesse dans le cadre d’une mission confiée à des opérateurs privés. L’opération, dont le but est de permettre aux forces de l’ordre de se concentrer sur d’autres missions, sera d’abord menée en Normandie et doit être généralisée à toute la France d’ici mi-2019.
Palestiniens tués. Deux Palestiniens ont été tués par l’armée israélienne dans le nord de la bande de Gaza alors que plusieurs milliers de manifestants s’étaient rassemblés à la frontière avec Israël pour réclamer le droit de revenir sur les terres dont ils ont été expulsés ou qu’ils ont fuies à la création de l’État hébreu en 1948. Depuis le début du mouvement de protestation, le 30 mars, 36 Palestiniens ont été tués.
Les excuses de l’ETA. L’organisation séparatiste basque ETA a demandé pardon aux victimes de la lutte armée qu’elle a menée à partir de sa création en 1959 et qui a fait plusieurs centaines de morts. L’ETA, qui a annoncé la « fin définitive » de ses actions armées en 2011, a déclaré qu’elle avait une « responsabilité directe » dans la « souffrance démesurée » du « peuple basque ».
Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !
Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.