Dans Brief.me aujourd’hui, la fin du service de voitures électriques Autolib’ en région parisienne, des lois en Hongrie pour sanctionner l’aide aux migrants et des conseils pour éviter les problèmes liés aux locations saisonnières.
Loi « secret des affaires ». La proposition de loi sur le « secret des affaires », qui vise à protéger les informations des entreprises considérées comme confidentielles, a été définitivement adoptée après le vote du Sénat, par 249 voix contre 95. Plusieurs ONG et syndicats de journalistes ont manifesté leur opposition à ce texte qui porte atteinte, selon eux, à la liberté d’informer.
Jours de grève. La SNCF n’a pas le droit de décompter des jours de repos (notamment les week-ends) aux cheminots en grève et devra les rembourser, a décidé le Tribunal de grande instance de Bobigny. Selon une règle appliquée dans l’entreprise, les jours de repos sont décomptés si un cheminot fait grève plus de sept jours dans le mois. La direction plaidait que la grève commencée début avril était un mouvement global de trois mois, mais le tribunal a estimé qu’il s’agissait de 18 grèves différentes de deux jours chacune.
Jean-Jacques Urvoas mis en examen. L’ancien ministre de la Justice Jean-Jacques Urvoas a été mis en examen mardi pour « violation du secret professionnel » par la commission d’instruction de la Cour de justice de la République (seule habilitée à se prononcer sur des faits intervenus dans l’exercice de fonctions ministérielles), a révélé Le Monde hier soir. Il est soupçonné d’avoir transmis des informations confidentielles au député Thierry Solère (ex-LR, aujourd’hui apparenté LREM) au sujet d’une enquête préliminaire pour fraude fiscale le concernant.
Sommet européen sur l’immigration. La Hongrie, la République tchèque, la Slovaquie et la Pologne, favorables à une ligne dure sur l’immigration, ont annoncé qu’elles ne participeraient pas à une rencontre des chefs d’État et de gouvernement européens organisée dimanche par la Commission européenne sur le sujet. Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a déclaré qu’il revenait au président du Conseil européen et non à la Commission d’organiser les sommets européens.
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