Dans Brief.me aujourd’hui, une offensive contre le groupe État islamique en Syrie, la politique nataliste de la Hongrie et un test avant l’embauche.
« Gilets jaunes ». Le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, Laurent Nunez, a dénoncé ce matin sur Franceinfo les violences au cours des manifestations des « Gilets jaunes », estimant que celles-ci étaient dues à des membres de l’« ultragauche » et de l’« ultradroite », suivis par des « Gilets jaunes radicalisés ». La 13e journée de mobilisation des « Gilets jaunes » a réuni samedi 51 400 personnes selon le ministère de l’Intérieur et 118 200 personnes selon Le Nombre jaune, une page Facebook qui recense les manifestants en s’appuyant sur les chiffres donnés dans la presse locale et sur des participants au mouvement.
Sous-marins vendus à l’Australie. L’entreprise française Naval Group a conclu ce matin un accord de partenariat stratégique avec le gouvernement australien couvrant une période de 50 ans. Le groupe a notamment signé un contrat portant sur la conception en France puis la fabrication en Australie de 12 sous-marins, pour un montant d’environ 31,2 milliards d’euros.
Ouïghours en Chine. Le ministère chinois des Affaires étrangères a déclaré que les propos tenus par la Turquie concernant le traitement de la minorité musulmane des Ouïghours étaient « totalement inacceptables ». Samedi, le ministère turc des Affaires étrangères avait dénoncé les violations des droits de l’homme à l’égard des Ouïghours en Chine, telles que des arrestations arbitraires et l’internement dans des camps, affirmant qu’elles constituaient « une grande honte pour l’humanité ».
Bouteflika candidat. L’agence de presse officielle algérienne APS a annoncé hier que le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, serait candidat à sa réélection pour un cinquième mandat lors de la prochaine élection présidentielle prévue le 18 avril. Âgé de 81 ans, Abdelaziz Bouteflika dirige l’Algérie depuis 1999, mais il a fait très peu d’apparitions publiques depuis un accident vasculaire cérébral dont il a été victime en 2013.
Manifestation contre le gouvernement espagnol. Répondant à un appel lancé par la formation conservatrice Parti populaire, le parti de centre droit Ciudadanos et le parti nationaliste Vox, entre 45 000 manifestants selon la police et 200 000 selon les organisateurs ont protesté hier à Madrid, en Espagne, contre le gouvernement dirigé par Pedro Sanchez. Ils reprochaient notamment au dirigeant socialiste de chercher à négocier le vote du budget pour 2019 avec les indépendantistes catalans, bien que le gouvernement ait suspendu ces négociations vendredi.
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