Dans Brief.me aujourd’hui, le projet de fusion entre Fiat Chrysler et Renault, la taxe carbone en Afrique du Sud et les enregistrements de Google.
LR cherche à se reconstruire. Le président du Sénat, Gérard Larcher, a proposé ce matin sur Franceinfo une initiative pour « reconstruire un projet qui rassemble la droite et le centre » après le résultat de son parti, Les Républicains, aux élections européennes dimanche (8,5 %). Le président du parti, Laurent Wauquiez, a proposé hier soir des « états généraux » à la rentrée pour « tout remettre à plat sur les valeurs, le projet, le fonctionnement et la stratégie d’alliance ».
Suppression de postes chez General Electric. Le groupe industriel américain General Electric a présenté aujourd’hui aux représentants de son personnel en France un projet de réorganisation qui « pourrait conduire » à la suppression d’un millier de postes. Les emplois menacés sont principalement ceux de la division turbines à gaz du groupe, dans le Territoire de Belfort, et ceux de services administratifs en région parisienne et appartiennent à l’entreprise américaine depuis qu’elle a racheté l’activité énergie du groupe Alstom en 2015.
Projet antipollution. Un consortium composé de 11 entreprises et organismes européens, dont le centre de recherche IFP Énergies nouvelles, le sidérurgiste ArcelorMittal et le groupe pétrolier Total, ont annoncé le lancement d’un projet pilote industriel de captage et de stockage du CO2 à Dunkerque, dans le Nord. Le projet, qui vise à piéger à la source les émissions polluantes d’un site industriel, est financé à plus de 76 % par des subventions de l’Union européenne.
Présidentielle contestée en Algérie. Le chef d’état-major de l’armée algérienne, Ahmed Gaïd Salah, a appelé aujourd’hui à l’organisation « dans les plus brefs délais » de l’élection présidentielle, prévue le 4 juillet. Il a rejeté l’instauration préalable d’une période de transition réclamée par les participants aux manifestations qui se poursuivent dans le pays. Le Conseil constitutionnel a annoncé dimanche n’avoir enregistré que deux candidatures pour l’élection présidentielle, déposées par des candidats peu connus et qui n’ont pas encore été validées, ce qui pourrait causer un report du scrutin.
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