Dans Brief.me aujourd’hui, les violences qui perdurent contre les civils en Afghanistan, un record du nombre d’arbres plantés en 12 heures et des gestes à éviter en cas de coup de soleil.
Corps retrouvé à Nantes. Le procureur de la République de Nantes a annoncé aujourd’hui que le corps retrouvé hier dans la Loire à Nantes était celui de Steve Maia Caniço, un homme de 24 ans disparu dans la nuit du 21 au 22 juin. Il n’avait plus été vu après une intervention de la police destinée à mettre fin à un concert lors de la Fête de la musique et qui a provoqué la chute dans le fleuve d’une dizaine de personnes. Le Premier ministre, Édouard Philippe, a déclaré que le rapport de l’Inspection générale de la police nationale n’avait pas « établi de lien entre l’intervention de la police et la disparition ».
Licenciements dans l’ex-usine de Whirlpool. Le tribunal de commerce d’Amiens a validé aujourd’hui le projet de reprise par l’entreprise Ageco Agencement de 44 salariés de la société WN, qui avait repris l’an dernier l’usine amiénoise du fabricant d’électroménager Whirlpool et a été placée depuis en redressement judiciaire. 138 salariés ne font pas partie du projet de reprise et vont donc être licenciés.
La sécurité du détroit d’Ormuz. L’ambassade des États-Unis à Berlin a annoncé aujourd’hui avoir demandé à l’Allemagne de « se joindre à la France et à la Grande-Bretagne pour aider à protéger le détroit d’Ormuz et combattre l’agression iranienne ». Les autorités iraniennes ont saisi le 19 juillet un pétrolier battant pavillon britannique dans le détroit d’Ormuz, qui relie le golfe Persique au golfe d’Oman et par où transite 30 % du pétrole mondial, selon le département américain de l’Énergie.
Défenseurs de l’environnement tués. 164 défenseurs de l’environnement ont été tués en 2018 en raison de leur combat, selon un rapport publié aujourd’hui par l’ONG de protection des droits humains et des ressources naturelles Global Witness. Les victimes s’opposaient principalement à des projets miniers ou agroalimentaires, selon l’ONG, qui avait comptabilisé 201 morts en 2017, mais qui précise que les véritables chiffres « pourraient être beaucoup plus élevés », car les cas « font rarement l’objet d’enquêtes ».
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