Dans Brief.me aujourd’hui, des mesures pour protéger les enfants, la consommation d’antibiotiques et les repas pris sur la table basse.
Mesures pour l’hôpital. Le Premier ministre, Édouard Philippe, et la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, ont présenté ce matin un « plan d’urgence pour l’hôpital » qui prévoit une reprise par l’État de près d’un tiers de la dette des hôpitaux sur trois ans et l’octroi de primes à certains professionnels. Le plan propose par ailleurs d’augmenter de 2,45 % l’objectif national des dépenses de santé (Ondam) pour 2020 par rapport à 2019, et non de 2,3 % comme prévu auparavant.
Privatisation de la Française des jeux. Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a annoncé cet après-midi que le prix de l’action de la Française des jeux, qui entre en bourse demain, avait été fixé à 19,50 euros pour les particuliers et 19,90 euros pour les institutionnels. Il a ajouté que la demande totale s’élevait à plus de 11 milliards d’euros et a précisé que 40 % des titres seraient réservés aux particuliers.
Loi sur les mobilités. Le Parlement a définitivement adopté hier soir par un vote de l’Assemblée nationale le projet de loi d’orientation des mobilités. Le texte autorise les communes, et les oblige même dans certains cas, à créer des « zones à faibles émissions » réservées aux véhicules les moins polluants. La loi permet également aux présidents de conseil départemental de relever de 80 à 90 km/h la vitesse maximale autorisée sur certaines routes.
Burkina Faso déconseillé. Le ministère français des Affaires étrangères a actualisé aujourd’hui ses recommandations sur le Burkina Faso, déconseillant aux voyageurs de s’y rendre du fait d’une menace terroriste « très élevée ». Les zones précédemment classées en « vigilance renforcée », compatibles avec le tourisme, deviennent des zones « déconseillées sauf raison impérative ».
Budgets sous surveillance. La Commission européenne a estimé aujourd’hui que les projets de budget pour 2020 de huit États membres de la zone euro, dont la France, présentaient « un risque de non-conformité avec le pacte de stabilité et de croissance » et les a invités à « prendre les mesures nécessaires ». Le vice-président de la Commission, Valdis Dombrovskis, a précisé que quatre de ces pays, dont la France, sont « fortement endettés » et « ne prévoient aucun ajustement budgétaire significatif ».
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