Dans Brief.me aujourd’hui, la victoire du parti au pouvoir lors des élections législatives syriennes, la question des étrangers en situation irrégulière dans le recensement aux États-Unis et un voyage dans le passé avec des auto-stoppeurs.
Chine et États-UnisLe département d’État américain (l’équivalent du ministère des Affaires étrangères) a annoncé aujourd’hui avoir ordonné la fermeture du consulat chinois de Houston, dans l’État du Texas, pour « espionnage illégal massif ». Le ministère chinois des Affaires étrangères a déclaré qu’une telle action allait « saboter les relations » entre la Chine et les États-Unis.
Lire notre article de mai sur les différends entre les deux pays.VaccinLes laboratoires pharmaceutiques Pfizer et BioNTech ont annoncé aujourd’hui avoir reçu une commande de l’exécutif américain d’un montant de 1,95 milliard de dollars pour 100 millions de doses de leur potentiel vaccin contre le Covid-19 si celui-ci est validé par les autorités de santé. Les laboratoires précisent que la commande pourrait s’étendre à 600 millions de doses et que les 330 millions d’Américains recevraient ainsi le traitement gratuitement.
JaponYuriko Koike, la gouverneure de Tokyo, a demandé aujourd’hui aux résidents de la capitale japonaise et de son agglomération « d’éviter le plus possible de sortir » alors que débute demain un week-end de quatre jours. La métropole de Tokyo enregistre une hausse des contaminations au Covid-19, avec plus de 230 cas recensés dans la journée d’hier.
ChantageLe président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a défendu aujourd’hui son choix de céder hier à une des demandes d’un homme qui avait pris en otage 13 personnes dans un bus et qui lui avait demandé de recommander publiquement un film documentaire dénonçant l’exploitation animale. « Nous avons un résultat : tout le monde est vivant », a déclaré le chef de l’État, qui a supprimé la vidéo qu’il avait accepté de poster sur Facebook.
Violences conjugalesLe Parlement a adopté hier soir, par un vote à l’unanimité au Sénat, une proposition de loi visant à protéger les victimes de violences conjugales. Le texte permet aux médecins de déroger au secret médical en signalant au procureur de la République des violences au sein d’un couple lorsque la victime est dans une situation de « danger immédiat » et qu’elle est sous l’emprise de l’auteur des faits.
Lire notre article d’octobre sur les violences conjugales.
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