27 février 2021

Dans B‌r‌i‌e‌f‌.‌m‌e ce week-end, l’essor des énergies renouvelables, les dérives sectaires, une dernière danse et des Pokémon à revendre.

L’essor des énergies renouvelables

Atteignant en 2020 son plus haut niveau en France, la production d’électricité issue d’énergies renouvelables a couvert 26,9 % de la consommation d’électricité en France métropolitaine, contre 23,1 % en 2019, ont rapporté mardi plusieurs organismes du secteur. Depuis les crises pétrolières des années 1970 et la multiplication des alertes liant l’utilisation des énergies fossiles au réchauffement climatique, les pays ont pris conscience de la nécessité de se tourner vers les énergies renouvelables, même s’ils ont régulièrement repoussé leurs objectifs.


Le concept

Les énergies renouvelables sont des énergies dont les sources sont disponibles dans la nature : le mouvement de l’eau (utilisé pour l’énergie hydraulique ou marémotrice), le vent (pour l’éolien), le soleil (pour le photovoltaïque ou le thermique), les matières organiques (pour la biomasse issue du bois ou de déchets d’origine biologique, pour les biocarburants ou le biogaz) ou le sous-sol terrestre (pour la géothermie). Elles servent à produire de la chaleur, de l’électricité ou des carburants. Elles sont inépuisables à long terme et n’émettent pas de gaz à effet de serre au moment de leur utilisation – contrairement aux énergies produites à partir de combustibles fossiles comme le charbon, le pétrole et le gaz naturel – ni de déchets radioactifs à long terme comme le nucléaire. Les énergies renouvelables sont utilisées depuis des siècles, mais ont été largement supplantées dans la consommation finale d’énergie lors de la découverte des énergies fossiles et de l’avènement du monde industriel.

Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !

Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.

J’ai déjà un compte