Dans Brief.me aujourd’hui, le projet de réforme de la haute fonction publique, le mode de scrutin des élections régionales et M en version philharmonique.
Nouvelle-CalédonieUn troisième référendum d’autodétermination aura lieu en Nouvelle-Calédonie le 12 décembre, a annoncé aujourd’hui le ministre des Outre-Mer, Sébastien Lecornu. L’accord de Nouméa signé en 1998 prévoyait la possibilité d’organiser jusqu’à trois référendums tant que le non à l’indépendance l’emportait. 56,7 % des électeurs avaient voté non lors du premier référendum en novembre 2018, puis 53,3 % lors du deuxième en octobre 2020.
Lire notre dossier de 2020 sur les aspirations indépendantistes en Nouvelle-Calédonie.RégionsEmmanuel Macron a commencé cet après-midi, à Saint-Cirq-Lapopie, dans le Lot, une série de déplacements dans les différentes régions de France, à un an de l’élection présidentielle. Dans un entretien accordé à plusieurs quotidiens régionaux fin avril, il avait déclaré vouloir « aller dans les territoires pour prendre le pouls du pays ».
Déficit publicLa Commission européenne a annoncé aujourd’hui que les règles européennes de discipline budgétaire, suspendues l’an dernier pour faire face à la crise du Covid-19, le seraient encore en 2022 et ne seraient rétablies qu’en 2023. Ces règles de discipline budgétaire prévoient que les États membres de l’UE maintiennent leur déficit public en dessous de 3 % de leur PIB (la production totale de biens et services) et leur dette publique en dessous de 60 % de leur PIB.
RussieLe Parlement russe a adopté aujourd’hui, via un ultime vote des sénateurs, un texte de loi interdisant aux dirigeants d’organisations jugées « extrémistes » ou « terroristes » par la justice de se présenter à des élections pendant cinq ans. Fin avril, le service russe des renseignements financiers a placé le réseau de bureaux régionaux de l’opposant russe Alexeï Navalny, en prison depuis janvier, sur sa liste d’organisations terroristes et extrémistes.
Lire notre panorama sur la Russie de Vladimir Poutine.États-UnisLe président des États-Unis, Joe Biden, s’est rendu hier soir à Tulsa, dans l’État de l’Oklahoma, pour « aider à rompre le silence » sur le massacre qui y a été commis il y a 100 ans, a-t-il déclaré. Entre 150 et 300 membres de la communauté noire de cette ville avaient été tués par une foule d’habitants blancs et le prospère quartier afro-américain de Greenwood avait été détruit.
Voir une infographie du New York Times sur la destruction de Greenwood (en anglais).
Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !
Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.