Dans Brief.me aujourd’hui, les accompagnants d’élèves handicapés en grève, le paiement par reconnaissance faciale lancé dans le métro de Moscou et des escaliers peints aux couleurs de tissus traditionnels au Pérou.
ItalieLe second tour des élections municipales en Italie s’est conclu hier par une victoire du Parti démocrate (centre gauche), dont les candidats ont été élus maires de Rome et de Turin, succédant à des maires du Mouvement 5 étoiles (M5S, antisystème). Le centre gauche avait conservé dès le premier tour les villes de Milan, Naples et Bologne. Le taux de participation s’établit à 43,9 % au niveau national pour ce second tour, en baisse par rapport au second tour des municipales de 2016 (50 %).
LibanLe chef du parti politique islamiste libanais Hezbollah, Hassan Nasrallah, a affirmé hier soir que son mouvement disposait de « 100 000 combattants armés et entraînés », quelques jours après des affrontements meurtriers à Beyrouth, la capitale. Le Hezbollah accuse des membres du parti chrétien des Forces libanaises d’avoir ouvert le feu lors d’une manifestation qu’il organisait avec son allié, le mouvement Amal.
HaïtiUne grève générale contre les enlèvements par les gangs armés a été massivement suivie à Port-au-Prince, la capitale d’Haïti hier, selon les récits de plusieurs agences de presse. « L’insécurité est devenue endémique à Port-au-Prince », estimait l’ONU au début du mois. Samedi, 17 personnes, membres d’une organisation caritative religieuse et de nationalités américaine et canadienne, ont été enlevées par un gang en banlieue de la capitale.
Écouter un entretien avec un spécialiste d’Haïti sur RFI.JusticeLe tribunal de Paris a ordonné aujourd’hui la convocation, le 2 novembre, de Nicolas Sarkozy comme témoin dans le cadre du procès dit des « sondages de l’Élysée ». Cinq de ses proches sont jugés dans ce procès, qui examine les conditions dans lesquelles des sondages ont été commandés par l’Élysée sous la présidence de Nicolas Sarkozy à des instituts sans appel d’offres, ce que le parquet national financier considère comme du favoritisme. L’ex-chef de l’État ne peut être poursuivi dans ce procès en raison de son immunité présidentielle.
Lire les explications de Franceinfo sur ce procès.
Inscrivez-vous pour poursuivre votre lecture !
Essayez gratuitement Brief.me pendant 30 jours.
Sans engagement ni carte bancaire.